Mon dieu que ce livre est long ! Je dois reconnaître
que je m’ennuyais tellement au bout des 200 premières pages que j’ai commencé à
lire en diagonale, en m’accrochant aux dialogues. L’action ne se déploie
véritablement que lors des 100 dernières pages (sur 400). Un peu juste pour ce
qui est décrit comme un thriller haletant. Avant ça, tout n’est que bavardage
insignifiant au fil d’une intrigue ponctuée de scènes invraisemblables qui
frôlent le ridicule (la timbale étant décrochée avec l’enfant autiste qui
résout un puzzle insurmontable). On sent que l’auteur à construit son roman
autour d’une seule idée (le retournement final, qui n’est même pas à la hauteur
des attentes) et qu’il a laborieusement tenté de combler les pages blanches de
ce qui aurait pu n’être qu’une nouvelle au lieu d’un roman de 400 pages.
Dans le même genre :
Shutter Island, de Dennis Lehane
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire